Le canon sans recul M40 (en anglais M40 recoilles rifle)^{1 ,2,3} est un canon sans recul de 105 mm fabriqué aux États-Unis à partir de 1953. Destiné à la lutte antichar, il peut également être utilisé dans un rôle antipersonnel avec l’utilisation de fléchettes anti-personnelles. Le calibre était généralement donné comme étant de 106 mm mais est en fait de 105 mm; la désignation 106 mm vise à éviter toute confusion avec les munitions incompatibles du canon M27, projet de canon sans recul de 105 mm abandonné⁴. L’arme, mono-coup, refroidie par air et chargée par la culasse, est utilisée principalement avec un affut à roues ou montée sur un véhicule. Elle a été conçue uniquement pour le tir direct et possède un matériel de visée adapté, dont une arme de pointage superposée au canon.

Remplaçant le canon sans recul M27, le M40 a été utilisé pendant la guerre du Viêt Nam et lors de divers conflits par la suite en Afrique ou au Moyen-Orient.

Calibre                                              9 cm (fusil de réglage : 12,7 mm)

Poids                                                600 kg (en état de marche

Cadence de tir                                6 coups minute

Munition                                         obus perforant à charge creuse 57

obus d’acier 50

cartouche lumineuse 57 (pour fusil de réglage

Portée pratique (en mètres)           but fixe : 900 m

but mobile : 700 m

obu d’acier : 3000 m

Déplacement                                    tracté par une véhicule à moteur (fusil de réglage                                                                         monté sur la pièce)

Calibre :                                                    9cm

Poids :                                                      600 kg (en ordre de marche)

Cadence de tir (coups min.) :                 6

Munitions :                                              obus perf. à charge creuse 50 ou obus d’acier 50

Portée pratique (en mètres) :                 but fixe : 700

but mobile :                                             500

obus d’aciers :                                         3000

Caractéristique :                                      tracté par le tube

Déplacement :                                         tracté par un véhicule à moteur

 Les BISONS ont pour mission de couvrir les transversales alpines principalement.

Les limites pour les pièces d’artillerie imposées par la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), ne concernent pas l’artillerie de forteresse, considérée comme artillerie sédentaire de défense.

La canon d’artillerie de forteresse de 15,5 cm est entièrement fabriqué en Suisse par les Ateliers de construction fédéraux de Thoune. 

Les caractéristiques du canon de 15,5 cm : 

Une unité de feu est composée de 2 monoblocs équipés chacun de 2 canons d’artillerie lourde de 15,5 cm.

• Année : 1995.
• Mise en batterie : 2,5 minutes
• Portée de tir : plus de 40 km.
• Cadence de tir : 5 coups en 25 secondes.
• Coût d’un monobloc : 277,2 millions FF

Organisation d’une unité de feu :

Deux monoblocs, distants de 500 mètres environ et situés dans un environnement de terrain différent, forment ce que l’on appelle une unité de feu. Chaque monobloc dispose de deux canons.

Grâce à un important travail de recherches de fonds, à des dons et à l’engagement personnel de nombreux membres, l’Association a pu acheter une ancienne halle de fabrication sur le site d’une usine désaffectée. Des travaux de rénovation, d’adaptation et de mise aux normes ont été réalisés pour offrir au visiteur un vaste panorama de ce que fut l’armement durant le deuxième conflit mondial et son évolution durant la guerre froide.
Une partie importante de la surface est réservée à l’imposante collection dont le Musée est devenu le conservateur et dépositaire qui provient de la fabrique d’armement Oerlikon-Bührle.
Spécialisée dans le développement et la fabrication de canons antiaériens et d’armes de bord pour avions et bateaux, cette firme, de renommée mondiale, a gardé depuis 1920 un exemplaire des prototypes construits, des pièces produites en série et des armes achetées à l’étranger en vue de procéder à des essais comparatifs.
La collection comprend également les esquisses et plans de ces armes, ainsi que ceux d’équipement dont l’étude fut abandonnée.
L’exposition montre également dans la halle principale et sur les différentes plate formes – étages qui s’élèvent à travers le bâtiment tout une série de véhicules blindés chenillés et sur pneus restaurés et pour certains remis en état de marche.
Ainsi, le char Praga tchèque datant de 1939, commandé à douze exemplaires par l’Armée suisse juste avant la guerre et qui servit dans la Wehrmacht sous différentes formes jusqu’en 1945. Des exemplaires du char de combat russe T 34 et T 85 figurent à côté de véhicules de transports de troupes comme les chenillettes anglaise Bren Carrier et française Hotchkiss, de pièces d’artillerie de 150, de matériel de transmission, de camions et de la fameuse jeep américaine. Le clou de l’exposition sera sans conteste, dès l’automne 2004, l’installation sur sa rampe de lancement, d’une fusée allemande sol-sol de type V1 datant de 1944.
Des armes plus modernes, tel le char suisse type 68, un Léopard allemand de première génération ou encore une batterie DCA guidée par radar figurent en bonne place.
Attraction unique dans un Musée, le simulateur de conduite d’un tank permet au visiteur, après quelques indications, de se lancer sur un terrain virtuel au commande d’un char suisse modèle 60/88 et de se déplacer comme s’il était au poste de pilotage.
Le « Bistro militaire », au rez de chaussée, offre boissons et petite restauration. Une boutique à proximité propose  une palette de souvenirs, cartes postales, militaria, livres et modèles réduits.
Le samedi, les visiteurs peuvent assister aux évolutions de véhicules à chenilles et à pneus sur l’aire de la grande cour devant le Musée.

Les photos ne sont pas commentées et vous retrouverez, parfois, à plusieurs reprises le même sujet sous un angle différent.

Si vous ne connaissez pas le musée de Full il est absolument obligatoire de faire une visite dans ce musée militaire, certainement l’un des plus beaux de Suisse.

-canon de forteresse à flasques

– calibre 90 mm

-champ de pointage en élévation +17°/-22°

-champ de pointage en dérive +/- 30°

– portée max. 4300 m avec élévation max. (obus charge creuse)

– vitesse initiale Vo 660 m/sec (obus charge creuse)

– longueur du tube 3000 mm

– équipage de 3 – 4 hommes

– cadence de tir max. 25 coups/min.

– obus perf. à charge creuse, MZ, lumineux; poids 11 kg, obus d’ex., lumineux (tube

réducteur 20 mm, Vo 350 m/sec), cartouche d’ex., lum. (tube réducteur 7,4 mm Vo 510

m/sec)

– chargement manuel, éjection automatique ·  refroidissement à air

–  poids de l’arme 435 kg, tube et culasse 140 kg

– tube et berceau 150 kg

– distance d’engagement contre chars 600 m, but mobile

Particularité

Hormis l’affût à pivot existe encore en forteresse un affût à flasque, exigeant une ouverture d’embrasure moins grande.

Le Maschinengewehr Modell 1911 ou MG 11 est une mitrailleuse lourde suisse qui a été introduite avant et pendant la Première Guerre mondiale . La MG 11 ressemble beaucoup à la MG 08, mitrailleuse lourde allemande..

La MG 11 a été fabriquée au départ par DWM Berlin. Les livraisons allemandes ont cessé durant la Première Guerre mondiale. La fabrication de la MG 11 a été reprise en 1915 par le Eidgenössischen Waffenfabrik W + F (fabrique fédérale d’arme (W + F) Berne .

Le MG 11 est une mitrailleuse lourde, refroidie par eau et montée sur un trépied. Son calibre est le  7.5×55 mm GP 11.  Elle a équipé la cavalerie et l’infanterie et a également été utilisée dans des forteresses, les chars et les avions de l’armée suisse. Lorsqu’elle est utilisée dans une forteresse,  une lunette de tir équipe la Mg 11. Le refroidissement par l’eau est relié à un réservoir par un tuyau de caoutchouc.

Au début des années 1950 la MG 11 a été progressivement remplacé par la Mg 51 de  7,5 mm.Maschinengewehr Modell 1957 (MG 51) . Le processus de remplacement a été terminé dans les années 1980.

Le Maschinengewehr 7,5 mm 1951 ou Mg 51 est une mitrailleuse à usage général fabriqué par W + F (Waffenfabrik = Fabrique d’arme) de Suisse. L’arme a été mis en service en Suisse lorsque l’ armée suisse a lancé un concours pour remplacer la MG 11 mitrailleuse lourde et le M25 mitrailleuse légère adoptée en 1911 et 1925 respectivement.

L’histoire

Vers 1942 l’armée suisse a lancé un concours pour une nouvelle mitrailleuse afin de remplacer à la fois la « lourde » MG 11 et le léger fusil-mitrailleur Lmg25, adoptée en 1911 et 1925. Selon les spécifications du Kriegstechnische Abteilung (KTA), les mille coups/minutes ne doivent pas être dépassés.  Les premiers prototypes ont émergé en 1944, et avaient une ressemblance avec la MG 42 allemande., La conception finale, qui a été produites dès 1950, était à bien des égards encore semblable à MG 42, ce qui a augmenté le poids, la stabilité et les coûts de production de la mitrailleuse. À certains égards, ce fut une « Rolex » de mitrailleuses. La MG 51 a servi à l’infanterie ainsi que sur les véhicules. Depuis 2005 , elle a été progressivement remplacé par une mitrailleuse plus légère et moins cher, mais aussi moins puissante 5,56 FN Minimi mitrailleuse d’origine belge.

les détails de conception

Le MG 51 a un court recul. Elle est refroidie à l’air. Elle utilise un système de verrouillage de type MG 42 modifié avec un boulon en deux parties et les volets à double verrouillage situés dans la partie avant du boulon. Ces rabats engagent les coupes faites dans le prolongement du canon court pour fournir le verrouillage rigide. Le canon peut être changé rapidement, si nécessaire; la procédure de changement de la culasse est similaire à celui de la MG 42. Une fenêtre de changer le canon.

Le système d’alimentation de la bande est également similaire à la MG 42, avec l’alimentation de la cartouche en une seule étape qui utilise des courroies en acier poche ouverte (type push-through) et une traction de la ceinture en deux étapes (à la fois le mouvement d’ouverture et de fermeture de la culasse) . L’alimentation est du côté gauche. Pour le rôle mobile, les courroies rondes 50 peuvent être chargées dans des conteneurs de type à tambour, qui sont clipsés sur le côté de l’arme à feu. Une lunette de visée peut être montée ainsi qu’un dispositif de visée de nuit. Le Pz Mg 51/71 est une variante monté un véhicule blindé..

Elles peuvent également tirer sur des buts aériens (hélicoptères) lorsqu’elle sont montées sur un trépied et qu’elles sont munies d’un viseur antiaérien.

La Mg 51 équipe toutes les fortifications de Suisse.

Le Maschinengewehr 7,5 mm 1951 ou Mg 51 est une mitrailleuse à usage général fabriqué par W + F de Suisse. L’arme a été mis en service en Suisse lorsque l’ armée suisse a lancé un concours pour remplacer la MG 11 mitrailleuse lourde et le M25 mitrailleuse légère adoptée en 1911 et 1925 respectivement.

L’histoire

Vers 1942 l’armée suisse a lancé un concours pour une nouvelle mitrailleuse afin de remplacer à la fois la « lourde » MG 11 et le léger fusil-mitrailleur Lmg25, adoptée en 1911 et 1925. Selon les spécifications du Kriegstechnische Abteilung (KTA), les mille coups/minutes ne doivent pas être dépassés.  Les premiers prototypes ont émergé en 1944, et avaient une ressemblance avec la MG 42 allemande., La conception finale, qui a été produites dès 1950, était à bien des égards encore semblable à MG 42, ce qui a augmenté le poids, la stabilité et les coûts de production de la mitrailleuse. À certains égards, ce fut une « Rolex » de mitrailleuses. La MG 51 a servi à l’infanterie ainsi que sur les véhicules. Depuis 2005 , elle a été progressivement remplacé par une mitrailleuse plus légère et moins cher, mais aussi moins puissante 5,56 FN Minimi mitrailleuse d’origine belge.

les détails de conception

Le MG 51 a un court recul. Elle est refroidie à l’air. Elle utilise un système de verrouillage de type MG 42 modifié avec un boulon en deux parties et les volets à double verrouillage situés dans la partie avant du boulon. Ces rabats engagent les coupes faites dans le prolongement du canon court pour fournir le verrouillage rigide. Le canon peut être changé rapidement, si nécessaire; la procédure de changement de la culasse est similaire à celui de la MG 42. Une fenêtre de changer le canon.

Le système d’alimentation de la bande est également similaire à la MG 42, avec l’alimentation de la cartouche en une seule étape qui utilise des courroies en acier poche ouverte (type push-through) et une traction de la ceinture en deux étapes (à la fois le mouvement d’ouverture et de fermeture de la culasse) . L’alimentation est du côté gauche. Pour le rôle mobile, les courroies rondes 50 peuvent être chargées dans des conteneurs de type à tambour, qui sont clipsés sur le côté de l’arme à feu. Une lunette de visée peut être montée ainsi qu’un dispositif de visée de nuit. Le Pz Mg 51/71 est une variante monté un véhicule blindé..

Elle peuvent également tirer sur des buts aériens (hélicoptères) losrqu’elle sont montées sur un trépied et qu’elles sont munie d’un viseur antiaérient.

La Mg 51 équipe toutes les fortifications de Suisse.

Le musée allemand des Blindés de Munster (en allemand : Deutsches Panzermuseum) est, ainsi que son nom l’indique, un musée militaire allemand situé à Munster en Basse-Saxe ; il présente des collections de véhicules blindés en se concentrant sur l’exposition de l’histoire de l’arme blindée allemande depuis 1917.

Le musée ouvre ses portes en 1983, à partir des collections privées de l’école des unités blindées (Panzertruppenschule) de la Bundeswehr qui se trouve à Munster. C’est depuis lors un musée ouvert au public, géré conjointement par la municipalité de Munster et par l’école des troupes blindées.

Le site du musée s’étend sur quelque 9 000 m² dont 7 500 m² de salles d’exposition. En 2003, le musée a inauguré un nouveau bâtiment destiné à accueillir des expositions temporaires, une boutique et une cafétéria.

La particularité de ce musée est qu’il présente de nombreux chars de fabrication soviétique qui équipaient l’armée populaire de l’Allemagne de l’Est. Lors de la fusion des deux Allemagnes, ces chars sont devenus la propriété de la nouvelle Allemagne.

Les photos que vous trouverez en annexe ne représentent qu’une petite partie de cette énorme exposition.

Si vous êtes intéressés par les blindés, il faut absolument visiter de musée.