L’attaché militaire de France à Berne ne fait que constater la réalité de la défense de ces vallées en 1938. Mais il se trompe en affirmant « que pour longtemps encore de défense immédiat du débouché d’Orsières, n’existera pas »).
Il est à noter que le colonel Masson (cité dans l’article) était le chef des services secrets suisses…..
Veuillez nous excuser de la taille des documents.